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Actualités du CESAP

Le Pôle Grand Paris Sud fête l’été !

 

Chaque établissement du Pôle Grand Paris Sud a saisi l’occasion de l’été pour célébrer les réalisations de l’année et l’engagement des équipes auprès des enfants, adolescents et adultes des établissements et services.

Ces moments festifs sont toujours une belle occasion de se retrouver, parents, personnes accompagnées et professionnels autour d’un moment convivial.

 

Le Samedi 3 juin, l’EEAP Le POUJAL a ouvert le bal avec une belle journée ensoleillée. Beaucoup de familles étaient au rendez-vous à cette occasion avec la participation d’un magicien professionnel qui a apporté un soupçon de rêve et de mystère à la fête. Chacun a pu vivre des moments magiques et partager un buffet très appétissant.

 

Le poujal

 

Le SESSAD Le CARROUSEL a réalisé son traditionnel pique-nique à Saint-Maurice, le mardi 20 juin. Les familles présentes en ont profité pour se rencontrer et échanger autour de leurs enfants.

 

sessad le Carrousel

 

Le CAFS Le CARROUSEL s’est réuni autour du traditionnel et gargantuesque pique-nique annuel, le jeudi 22 juin. La pluie s’étant invitée à la fête, l’équipe et les enfants ont été généreusement accueillis par les professionnels de la Mas La Cornille à Thiais afin de profiter de ce temps convivial. Ce fût une rencontre multigénérationnelle et inter-établissement très enrichissante.

 

Cafs le carrousel

 

 

A la MAS La CORNILLE, la fête de l’été s’est déroulée le mardi 27 juin. Les résidents ont pu profiter d’un excellent brunch amélioré, concocté par les professionnels. Un joli moment de partage et de convivialité organisé par une équipe socio-éducative très impliquée.  Vivement l’année prochaine !

Le Samedi 1er Juillet, lEME l’Ormaille et le PCPE ont fait un saut dans le temps dans l’univers d’Astérix et Obélix » lors de la Kermesse de fin d’année.

 

LOrmaille

 

Des stands tous plus inventifs les uns que les autres, orchestrés par le comité des fêtes de l’établissement, fabriqués et tenus par les professionnels ont fait la joie des petits et des grands, des frères et sœurs, de leur famille et de l’ensemble de l’équipe.

 

Le temps plutôt incertain a finalement été idéal pour vivre ce moment très convivial, ludique et plein de surprises à gagner. Il s’est terminé autour d’un grand buffet en extérieur.

 

Ce même jour, le SESSAD LES PETITS EXPLORATEURS avait convié la Compagnie Team Sign Events à présenter un show entraînant pour sensibiliser les familles à la langue des signes. Les spectateurs, enfants, parents et professionnels ont été enthousiasmés par le dynamisme et la bienveillance de la prestation. Et bien sûr un repas festif a conclu la journée.

 

Sessad les petits explorateurs

CESAP fait évoluer son identité visuelle

CESAP fait évoluer son identité visuelle pour mieux affirmer
ses missions, ses valeurs, ses engagements
au service des personnes en situation
de handicap sévère et complexe

 

Accompagner

Accompagner, c’est créer la relation bienveillante qui permet la communication, le soin, l’éducation, la participation citoyenne et l’épanouissement de la personne accueillie, dans le respect de ses attentes et de son expression.

 

Former

Former, c’est tout à la fois
• Favoriser la progression des personnes accompagnées dans leurs apprentissages et leur chemin vers plus d’autonomie.
• Intégrer et faire progresser nos collaborateurs dans leurs savoir-faire et leurs pratiques.
• Offrir aux professionnels du secteur médico-social, et via notre centre de formation, les opportunités d’accroître leur expertise dans la prise en charge du handicap et du polyhandicap.


Innover

Innover, c’est rechercher et adapter sans cesse une organisation, des pratiques et des outils novateurs, pour mettre en oeuvre des solutions répondant au mieux aux besoins des personnes accompagnées et de leurs aidants.

 

 CESAP VERTIC COUL SMALL


Ensemble, avec les familles, qui inspirent nos pratiques,
et les professionnels du médico-social qui contribuent
à l’accomplissement de nos missions.

Interview d’Alice Casagrande « Il nous faut impulser au mieux et en profondeur une alliance entre tous les acteurs de la lutte contre les maltraitances. »

A l’occasion du séminaire des directeurs et des membres du conseil d’administration de Cesap, Alice Casagrande, conseillère en charge de la lutte contre les maltraitances auprès de Jean-Christophe Combes, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des personnes handicapées a animé la contribution de Cesap aux Etats Généraux des Maltraitances.

Elle a accepté de nous accorder un moment pour répondre à quelques questions.

 

-             Qui porte ce projet d’Etats Généraux des Maltraitances ?

 

Le projet est interministériel. Il est porté par le Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des personnes handicapées, Jean-Christophe Combes, mais aussi par Geneviève Darrieussecq, Ministre déléguée aux personnes handicapées.

Nous croyons en l’importance de l’inclusion dans la construction de la politique publique des personnes concernées. C’est pourquoi le comité de pilotage comporte des représentants des publics en situation de vulnérabilité. Ainsi, on y retrouve cinq personnes élues par les instances représentatives des usagers, dans les champs de la lutte contre l’exclusion, du handicap et de l’avancée en âge. La Commission Nationale du Débat Public est également représentée dans ce comité, afin d’effectuer un suivi et conseil méthodologique. Les parlementaires sont représentés par une députée et un sénateur.

 

-             Pourquoi avoir choisi le nom d’ « états généraux », et cette forme de concertation ?

 

Nous souhaitions adapter notre méthodologie afin d’engager toute la société dans notre travail, puisque la question des maltraitances est multidimensionnelle, fait intervenir de nombreux acteurs, et concerne tout le monde.

Des saisines institutionnelles, par exemple auprès du Conseil National Consultatif des Personnes Handicapées (CNCPH) ont permis de recueillir des contributions de manière officielle. Viennent ensuite des groupes de travail pluridisciplinaires. Le premier porte sur le repérage et l’orientation des victimes et se tourne plutôt vers les ordres professionnels (pharmaciens, notaires…), tandis que l’autre se penche sur la sécurité des personnes, et associe les acteurs de la sécurité sous l’égide du Ministère de Intérieur et du Ministère de la Justice, mais aussi des élus locaux.

Les débats autoportés, enfin, sont ouverts à toute initiative des parties prenantes : personnes concernées, familles, directions, il est nécessaire d’affirmer la légitimité de toutes ces paroles. Nous sommes tous des experts de la lutte contre les maltraitances, nous partageons tous des bouts de connaissance du sujet… et des parties de la solution.

 

-             Combien et quels types de structures ont participé aux Etats Généraux des maltraitances ?

 

A ce jour, nous décomptons 67 débats autoportés, dont celui de Cesap. Ces débats ont été à l’initiative d’associations de familles ou de personnes concernées, d’établissements (certains EHPAD, foyers de vie, CADA…), d’organisations gestionnaires (Cesap, APF), de Fédérations (Fédération Nationale de la Mutualité), d’espaces institutionnels (Espaces Ethiques Régionaux) ou de Centres Communaux d’Action Sociale.

 

-             Quelles sont les prochaines étapes ? Quelles seraient les réalisations concrètes de ces Etats Généraux ?

 

A partir du 10 juin, il y aura clôture des débats autoportés et la finalisation des groupes de travail le même mois. Le dernier comité de pilotage se réunit en juillet. Après la restitution des Etats Généraux aux ministres et au grand public le 6 septembre, la stratégie nationale de lutte contre les maltraitances sera lancée à l’automne. C’est une stratégie à différentes échelles, qui comporte des actions impliquant les forces de l’ordre, les magistrats, les gestionnaires, mais aussi les personnes et le grand public…

Par exemple, une action peut consister à construire avec les forces de l’ordre une formation des policiers et des gendarmes pour mieux connaître les personnes concernées. On peut ensuite envisager d’installer une instance départementale de recueil des signalements, comme il en existe pour les mineurs depuis 2007. Autre action possible : l’adaptation des interventions des forces de l’ordre et de l’accueil des personnes en commissariat et en gendarmerie.

 

-             Quel était votre intérêt à animer une session de débat autoporté avec Cesap ?

 

Cesap est pour nous particulièrement important car ses publics accompagnés sont particulièrement vulnérables. Notre présence répond à un engagement fort de la direction générale et de la gouvernance.

En dehors de cette rencontre entre nos deux volontés, les Etats Généraux des maltraitances portent un objectif de pédagogie et de facilitation. C’était donc tout naturel pour nous de venir animer ce débat. Notre objectif est de rencontrer les acteurs pour travailler à une visibilité et à une alliance, tout particulièrement utile sur un sujet encore délicat à ouvrir.

 

-             Qu’avez-vous pensé des contributions lors du débat de Cesap ?

 

Les contributions étaient apaisées, c’est le signe d’une institution qui a l’habitude de la prise et de la circulation de la parole.

Je n’ai pas vraiment été surprise par ces contributions. Elles ont par moments confirmé des hypothèses, précisé des intuitions. Cela a incarné l’espoir que nous avions pour ces Etats Généraux : une discussion qui ne soit pas culpabilisante mais responsabilisante.

Nous avons pu voir un esprit de création collective, avec l’émergence de l’idée d’un « violentomètre» constitué par chaque équipe en fonction des risques qu’il identifie, par exemple. Les propositions étaient fortes, car elles associaient l’individuel et le collectif.

J’ai eu l’impression que les participants ne sortaient pas des échanges le cœur lourd, culpabilisés, mais dans un esprit de groupe, avec la conscience d’avoir bien travaillé et que le travail restait ouvert, et je m’en félicite.

Contribution du CESAP au projet de loi sur la "fin de vie"

Un groupe de travail issu du Comité exécutif du CÉRÉ s'est réuni pour réfléchir aux incidences que pourrait avoir une loi dite "fin de vie" sur les personnes polyhandicapées.

 

Vous trouverez ci-dessous le texte qui a été produit et qui se concentre sur les spécificités de la population adulte en situation de polyhandicap, au regard de leur fin de vie.

 

7 recommandations y sont formulées sur différents volets, parmi lesquels :

  • Les soins palliatifs
  • La limitation et arrêt des traitements (LAT)
  • Les droits des malades
  • La personne de confiance
  • Les directives anticipées
  • Les aides actives à mourir

 Il a été transmis au ministère ainsi qu'aux parlementaires et sénateurs, dans l'espoir de contribuer à leur actuel travail de rédaction du projet de loi : Document à télécharger disponible ici.

 

2ème Session de CAA

De retour avec nous, Sandrine Eifermann Soutarson accueille 40 collaborateurs CESAP pour reprendre les bases de la Communication Alternative Augmentée avec les différentes mises à jour.

 

L'objectif est de trouver le meilleur moyen de communiquer avec les personnes polyhandicapées. Aujourd'hui, nous avons la chance d'avoir deux types de CAA : numériques (tablettes, etc.) et non numériques (papier, chemises, etc.). "Aujourd'hui, nous devons viser le développement du langage et l’authenticité du discours pour atteindre l'autonomie."

Voici quelques outils de CAA couramment utilisés par les personnes polyhandicapées.

 

 

Madame Soutarson et une table d'outils de communication alternative augmentée

 

Sylvie Gay Bellile et Madame Soutarson devant une table d'outils de communication alternative augmentée

 

Le plus difficile est la barrière individuelle, et il faut prendre conscience que chacun communique à sa manière.

Il faut donc développer des outils d'adaptation et de formation pour l'intégration et l'échange. Concepts clés de la CAA :

Robustesse, multimodalité, modélisation, littératies. Identifier les éléments clés de la CAA et comprendre divers problèmes.

Enfin, nous devons nous assurer que la CAA devienne une nouvelle manière de communiquer pour les personnes polyhandicapées. 

Merci à madame Soutarson pour son investissement auprès des salariés cesap.

 

 

Une formation qui sauve des vies

Le 16 et le 17 mars 2023, le pôle 77 du CESAP a proposé à 12 membres du personnel de participer à la formation Sauveteur Secouriste du Travail (SST).

 

Celle-ci propose de sensibiliser l'apprenant à l'environnement accidentogène au travail, à son rôle actif dans la recherche des risques persistants et dans la définition d'actions de prévention ou de protection. Ils apprennent les différents gestes qui permettront de secourir ou de sauver leurs collègues ou un citoyen dans la vie de tous les jours.

Vive nos 12 SST !!!

 

IMAGE SST

La communication alternative améliorée, un droit pour les personnes polyhandicapées, un enjeu majeur pour le CESAP

Depuis plusieurs années, le CESAP travaille au déploiement de la communication alternative améliorée au profit des personnes polyhandicapées. Organisées à son initiative, les journées de formation des 24 et 25 novembre étaient l’occasion de faire le point sur les meilleures pratiques et les outils les plus avancés.

 

«Quand on parle de la Communication alternative améliorée (CAA), on ne parle pas d’une pratique, on parle d’un droit ! ». En introduisant sa session de formation, Sandrine Eifermann Soutarson pose d’emblée le cadre de son combat pour le mieux-être des personnes polyhandicapées. « La quasi-totalité d’entre elles est dans l’incapacité de soutenir un échange verbal, explique-t-elle. Il est impératif de leur proposer d’autres formes d’interaction pour les sortir de l’isolement dans lequel les enferme la maladie ».

 


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C’est précisément sur les moyens de mettre en œuvre ce droit que sont venus travailler, les 24 et 25 novembre dernier, 43 collabora-teurs du CESAP : aides-soignants, psychomotriciens, orthophonistes, ergothérapeutes, kinésithérapeutes, cadres de direction... Une mise à jour des connaissances pour les uns, une initiation pour d’autres. « La CAA ne fait pas partie de notre formation initiale », indique Justine Teissier aide-soignante récemment diplômée. « J’en ai entendu parler sur le terrain, en échangeant avec mes collègues et les psychologues, mais je ne la pratique pas encore vraiment. Et j’attends beaucoup de ces deux jours de formation, car c’est compliqué de communiquer avec les personnes que l’on accompagne ».                                                                                                                                                     Justine Teissier

 

Sophie Lasserre, ergothérapeute, aujourd’hui directrice-adjointe du SESSAD Les Petits Explorateurs à Évry est impliquée dans cette discipline depuis longtemps. Au quotidien et dans des groupes de travail pluri-associatifs. « Le CESAP est vraiment leader en matière de CAA », explique-t-elle. « Beaucoup de nos établissements sont très investis, et la pratique gagne du terrain chaque jour. Mais c’est un sujet que l’on ne finit pas d’approfondir. Tout évolue vite : les méthodes d’évaluation, les pratiques, les outils... Et c’est important d’actualiser ses compétences. Et aussi de voir comment mieux promouvoir la CAA auprès de tous ceux qui entourent les personnes polyhandicapées ».

 

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                                                                    Sophie Lasserre

 

La CAA ne doit pas rester l’affaire des spécialistes, rappelle en écho Sandrine Eifermann. Son efficacité repose sur la mobilisation de toutes les parties prenantes, personnels d’accompagnement et de soin, thérapeutes des centres ou en ville, et surtout les familles qui jouent évidemment un rôle primordial. Les regards croisés de tous ces intervenants sont la clef de l’efficacité. En particulier pour la pertinence des évaluations, phase essentielle de la démarche, et l’indispensable continuité à assurer dans la mise en œuvre des pratiques. « Mais, au-delà, c’est toute la société qui est concernée », insiste-t-elle. « Pour que soit reconnu ce droit à communiquer et aussi pour en répandre l’usage dans d’autres domaines où elle peut être très utile. Par exemple, pendant le Covid, la CAA a été très utilisée dans les services de réanimation, pour communiquer avec les personnes intubées. »

 

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Éducateur spécialisé, Dimitri accompagne les familles pour la prise en charge à domicile de leurs enfants polyhandicapés. « La CAA est un élément primordial de mon travail », témoigne-t-il. « L’enjeu est d’abord d’en faire accepter le principe aux parents et d’apprendre à ceux-ci à l’utiliser de façon efficace. Le rythme de la sensibilisation est important. Il ne faut pas brusquer les choses, ni pour les enfants, ni pour les parents et ne pas attendre un feedback immédiat ». Patience et opiniâtreté sont les clefs pour construire des progrès durables.

Les outils aussi sont importants. Des plus simples, jeux de pictogrammes colorés, au plus sophistiqués, tablettes numériques, « lucarnes » (dispositifs réagissant aux mouvements oculaires) et autres que les participants ont eu l’occasion de manipuler au cours de la formation.

 

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« Cette journée n’est pas un aboutissement », conclut Laurence Moureux, directrice du pôle Seine-et-Marne du CESAP et organisatrice de ces deux journées avec Aline Morel, chargée de mission Qualité de l’association. « C’est une étape importante dans l’action que nous développons au CESAP pour le déploiement généralisé d’une pratique essentielle au mieux-être des personnes accompagnées. Les participants porteront la bonne parole et les bonnes pratiques dans nos établissements et dans leur environnement. D’autres formations, d’autres actions de sensibilisation seront mises en œuvre dans les mois qui viennent. Et, dans le cadre de l’appel à projet AACTA de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie, nous allons ouvrir prochainement en Seine-et-Marne une plateforme régionale dédiée au prêt de matériels et à l’échange des bonnes pratiques ».

 Laurence Moureux

 

Sandrine Eifermann Soutarson

IMG 9018« Communiquer, c’est se construire »

Studieuses et participatives, ces deux journées de formation du CESAP doivent beaucoup à Sandrine Eifermann Soutarson, qui les a proposées et a bien voulu en assurer bénévolement l’animation. Bibliothécaire numérique, militante convaincue de la CAA, Sandrine est présidente des associations Isaac Francophone et Quand un sourire suffit, formatrice et membre d’autres organisation du mouvement associatif.
Elle est maman d’une fillette atteinte du syndrome de Rett, sensibilisée donc, depuis plusieurs années aux problèmes de la communication avec les personnes polyhandicapées. Une expérience personnelle qui nourrit son engagement et sa vision humaniste de la pratique : « la CAA n’est pas une simple technique », explique-t-elle.  « C’est l’ensemble des stratégies, des dispositifs et des outils qui permettent de communiquer autrement que par la parole et qui doivent être mis en œuvre avec le souci de la multimodalité. Ni chapelles, ni dogmes, mais une approche empirique, dynamique et partagée par tous les intervenants qui accompagnent la personne polyhandicapée afin d’améliorer son autonomie ! Souvent, les familles sont réticentes, car la CAA exige beaucoup de temps et d’énergie, pour des résultats qui apparaissent lentement. Mais elles sont évidemment au centre de la démarche, et sont le pilier de son efficacité ».

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